Plusieurs emballages ont le potentiel pour survivre à leur
contenu. C'est
parce qu'ils sont conçus pour être robustes afin de satisfaire aux exigences de
la distribution, de la conservation du produit, et de l'usage. Malheureusement
de nombreux produits sont consommés longtemps avant l’usure de l’emballage, générant
ainsi du gaspillage pour un contenant toujours utilisable.
Les éco-recharges ont été utilisées comme une stratégie de
conditionnement pour éviter les déchets d'emballage. Cependant,
cela n'a pas été une réussite totale en raison de la gêne perçue pour le
consommateur. Plusieurs
facteurs sont responsables : la complexité associée à la tenue des
composants, l'achat de recharges, le transfert du contenu ou le montage et
démontage des composants. Tant
que les recharges continueront d'être peu pratique à utiliser, elles ne
seront pas complètement adoptées par les consommateurs.
Inversement, la livraison à domicile et / ou le retour des
emballages vides au magasin sont deux solutions viables à l'élimination
prématurée de l'emballage et peuvent supprimer l’étape de remplissage « artisanale »
du consommateur ( souvent génératrice de gâchis pendant le transfert).
De nombreux détaillants offrent aujourd'hui le service de
livraison à domicile via les achats en ligne. Semblable
au laitier d'antan, les emballages sont livrés plein et sont rendus vides pour
être réutiliser (principe de la consigne). Des
produits, tels que les chips « Charles Chips » (détaillant aux E.U) sont
vendus et livrés à domicile dans un fût métallique retournable. Cependant, ces
initiatives ont été prises pour des produits spécifiques et non pas par les
grandes surfaces car encore trop complexes.
Les détaillants pourraient néanmoins offrir des moyens pour
permettre aux consommateurs de déposer leurs déchets d’emballage à l'entrée du
magasin afin de recevoir un coupon de réduction (la récompense ou la légifération
étant les seuls moyens pour éduquer les consommateurs). « Blue Rhino »
leader américain des échanges de réservoirs
de propane permet par exemple aux consommateurs de facilement échanger leur
réservoir vide pour un plein après qu’il ait été nettoyé, inspecté, testé au
niveau de l'étanchéité, et rechargé. Récupérer
puis réutiliser évite l'enfouissement des réservoirs hors d’usage, ce qui est
choix intelligent et écologique.
Dans certains gouvernements locaux et circuits de retraitement, il
ya eu une demande croissante pour élargir la responsabilité des producteurs, dans
laquelle le producteur serait responsable des coûts de gestion de fin de vie des
produits et des emballages. Ces
systèmes en boucle fermée pourraient donc être des moyens d'aider les entreprises à répondre à
cet demande.
“Home delivery” and “return-to-store” : The return of the milkman packaging model?
Many packages have the potential to outlive their contents. That’s because they
are designed to be robust in order to fulfill distribution, product
preservation, and usage requirements. Unfortunately many products are consumed
long before their packages fatigue, creating the wasteful disposal of a package
that still has the ability to perform.
Refills have been used as a packaging strategy to avoid packaging waste.
However, the refill methodology has not been completely successful due to the
perceived inconvenience to the consumer. There is complexity associated with
keeping the components, purchasing refills, and transferring contents, or the
assembly and disassembly of components. This often leads to tedious steps,
fumbling, and mess. If refills continue to be inconvenient to use, they most
likely will not be adopted by consumers.
Conversely, home delivery and/or returning the empty packaging to the
store are two viable solutions to the premature disposal of packaging and may
provide a better way of refilling packaging without the consumer burden.
Many retailers today offer at-home delivery via online shopping for
products. Similar to the milkman of yesteryear, packages can be delivered full,
and empties can be returned for refilling. There have been other products that
have followed the milkman model, such as Charles Chips potato chips, which used
to be offered in an iconic metal drum delivered to the consumer’s doorstep.
However, these initiatives have been undertaken in the support of specific
products and not the large area of product packaging that requires reclaim and
replenishment. With Internet-based shopping and home delivery via grocery
services like Stop & Shop’s Peapod and Amazon.com, a vast majority of
products can now arrive conveniently on your doorstep.
Retailers could also offer technologies that would give consumers the
option of dropping off their empties upon entering the store and receiving a coupon
for a discounted repurchase (reward or lawmaking is the only way to educate
consumers). Blue Rhino, for example, is America’s leading propane tank exchange
and allows consumers to conveniently swap out their empty tank for a full,
freshly cleaned tank that has been recycled, inspected and leak-tested, and refilled.
This reclaim/reuse model keeps old tanks out of landfills, making it a smart
and environmental choice for consumers.
Both “home delivery” and “return-to-store” offer a closed-loop system
for packaging reuse, as manufacturers pick up empties at the same time they
restock the stores. Within sustainability circles and some local governments,
there has been an increasing call for Extended Producer Responsibility, whereby
the producer would be liable for the costs of managing their products and
packaging at end of life. These closed-loop systems could be a way to help CPG (Consumer packaged goods ) companies, through their association with retailers, answer
that call.
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