Depuis un peu plus d’une semaine, la lessive Le Chat se vend «toute seule», dans deux hypers de la région parisienne via un distributeur automatique. D’ici fin décembre, huit autres machines seront installées dans des hypers répartis sur le territoire national.
Mises au point avec la société Eco2Distrib (partenaire de l’Ademe et du CNIID), les machines ne vont distribuer la lessive et l’adoucissant que dans des contenants spécifiques
, la machine disposant d’un système de reconnaissance. Ces derniers sont en PET dont 25% de RPET. Le flacon, réutilisable de nombreuses fois, est vendu 30 centimes pour le format d’1L et 50 centimes pour le format de 3L. La lessive et l’adoucissant sont commercialisés à un tarif 10% inférieur à celui des flacons classiques, assure la marque de Henkel.
Le fonctionnement du distributeur automatique est simple. Après avoir placé le flacon sous la buse de distribution, le remplissage est automatisé, sans risque de débordement (technologie brevetée) ou d’erreur dans la quantité (double système de contrôle, arrêt automatique en cas de retrait du flacon). Une fois le flacon rempli et sur lequel sont rappelées au consommateur les bonnes pratiques d’utilisation de lessive, une étiquette avec le prix est imprimée par la machine qu’il suffit de coller sur le flacon. Le paiement s’effectue en caisse comme pour un produit classique. Le consommateur a aussi la possibilité de remplir son flacon en fonction du nombre de lavages souhaités.
Selon la marque Henkel, cette solution permet une réduction de l’empreinte carbone et du volume de déchets significative. La réduction des impacts environnementaux passe aussi par la lessive et l’adoucissant, des produits de la gamme Le Chat Eco-Efficacité (lancée en 2008). Cette gamme a été organisée pour limiter les transports entre les différentes phases de production et réduire les émissions de CO2 liés à la production. Le soufflage et le remplissage des flacons ont été directement intégrés à la chaîne de production où sont produits les deux produits de cette gamme. Sur la base de 250 machines implantées (hypothèse de déploiement réaliste, souligne la marque) et d’une consommation de 2000L de lessive par an et par distributeur et de 500L d’adoucissant par an et par distributeur, c’est une réduction de 83% du volume d’emballages plastiques à traiter ou à recycler généré par la lessive (75% pour l’adoucissant) qui sera obtenue, et une diminution d’autant du volume de pétrole nécessaire pour la fabrication des bouteilles en plastique, et une baisse de 10% des émissions de CO2 liées à l’emballage. 17.5 tonnes de déchets et 35.2 tonnes de CO2 seront ainsi évitées par an, indique la marque Le Chat.
La mise en place de ces distributeurs répond à une évolution des tendances de consommation, estime Henkel qui s’est appuyé sur deux enquêtes, l’une de TNS de 2007 et l’autre d’Ethicity menée sur 4 373 françaises en février/mars 2010. «Ainsi, en 2010, 60% des consommateurs français déclarent avoir changé leur comportement en faveur du développement durable» a indiqué Yvan Bonneton, directeur Marketing de la Branche Détergents Henkel. A l’issue de ce test grandeur nature qui va durer cinq mois, et dont l’objectif est d’évaluer l’adhésion des consommateurs au principe de l’Eco-distribution, Henkel décidera au vu des résultats de poursuivre ou non.
Les lessives Le Chat et Le Chat Eco-Efficacité représentent par an environ dix millions de flacons vendus et plus de 1,5 million de flacons d’adoucissant. Au total, c’est près de 1,5 milliard de kilos de linge lavés.
Selon la marque Henkel, cette solution permet une réduction de l’empreinte carbone et du volume de déchets significative. La réduction des impacts environnementaux passe aussi par la lessive et l’adoucissant, des produits de la gamme Le Chat Eco-Efficacité (lancée en 2008). Cette gamme a été organisée pour limiter les transports entre les différentes phases de production et réduire les émissions de CO2 liés à la production. Le soufflage et le remplissage des flacons ont été directement intégrés à la chaîne de production où sont produits les deux produits de cette gamme. Sur la base de 250 machines implantées (hypothèse de déploiement réaliste, souligne la marque) et d’une consommation de 2000L de lessive par an et par distributeur et de 500L d’adoucissant par an et par distributeur, c’est une réduction de 83% du volume d’emballages plastiques à traiter ou à recycler généré par la lessive (75% pour l’adoucissant) qui sera obtenue, et une diminution d’autant du volume de pétrole nécessaire pour la fabrication des bouteilles en plastique, et une baisse de 10% des émissions de CO2 liées à l’emballage. 17.5 tonnes de déchets et 35.2 tonnes de CO2 seront ainsi évitées par an, indique la marque Le Chat.
La mise en place de ces distributeurs répond à une évolution des tendances de consommation, estime Henkel qui s’est appuyé sur deux enquêtes, l’une de TNS de 2007 et l’autre d’Ethicity menée sur 4 373 françaises en février/mars 2010. «Ainsi, en 2010, 60% des consommateurs français déclarent avoir changé leur comportement en faveur du développement durable» a indiqué Yvan Bonneton, directeur Marketing de la Branche Détergents Henkel. A l’issue de ce test grandeur nature qui va durer cinq mois, et dont l’objectif est d’évaluer l’adhésion des consommateurs au principe de l’Eco-distribution, Henkel décidera au vu des résultats de poursuivre ou non.
Les lessives Le Chat et Le Chat Eco-Efficacité représentent par an environ dix millions de flacons vendus et plus de 1,5 million de flacons d’adoucissant. Au total, c’est près de 1,5 milliard de kilos de linge lavés.
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